J'apprécie la Bêtise, légèrement dégrafée

 

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page en construction, spécialement dédiée à Aline Legmar

 

J'apprécie la Bêtise, légèrement dégrafée...

 

JUAN ANDRES EZCURDIA SE DILATE LA RATE…

 

… EN SURFANT SANS PLANCHE SUR LES APHORISMES DE PAUL CARBONE

 

et a parfois l’audace d’ajouter, (en noir) un commentaire…

 

 

Tout conseil est un ordre déguisé.

 

Tout ce qui est “normal” m’exténue.

 

Je connais bien mes limites. C’est même l’une des raisons qui me pousse à ne pas les reculer.

 

La volonté de puissance exige trop de mains à serrer.

 

Autour de moi, les gens meurent comme des mouches : amis, parents, simples relations. Le cercle se resserre et mon tour approche. Putain, pourvu que mes infirmières soient bandantes ! {elles le sont toujours, et en ont vraisemblablement conscience…)

 

A la façon dont elle fait castrer tous ses chats, j'évite de miauler devant elle.

 

Elle me parle de l’inessentiel avec une faconde admirable et mon gland l’écoute avec beaucoup d’attention

 

Peut-on parler sérieusement d'autre chose que de soi ?

 

Toutes les robes rouges sont faites pour être encornées.

 

C'est facile d'être un séducteur : il suffit de s'attendrir sur les femmes qui s'ennuient.

 

Leur optimisme béat me confond. Tout est au mieux dans le meilleur des mondes possibles. Chez eux, il n’y a que la fosse qui soit septique !

 

$ù$U : en passant sur le clavier de l'ordinateur, ma chatte vient de vous laisser ce petit message. Messieurs les Champollion, à vous de jouer !  {miaou ! ?} {putain de clavier ! ?}

 

Aujourd'hui, j'exècre les transports en commun. Pour qu'une jeune fille se lève afin de vous céder poliment sa place, merci !

 

J'appelle bonheur la trépidation de mes glandes  (et, si possible, un grand fracas de muqueuses)

 

Toutes les femmes heureuses se trémoussent

 

Je m’aigris sans maigrir, triste spectacle !

 

On me juge toujours sur ce que je ne fais pas.

 

Je parle peu, j’écoute de moins en moins - et m’enthousiasme qu’on me le rende si bien.

 

On a la morale de ses peurs.

 

Misogynie  La plupart des femmes et des microscopes excellent dans l'infiniment petit.

 

Qui pourrait imaginer qu'un gourou se contente du viol des âmes ?

 

Rendez à Cléopâtre…  Si la chair est triste, c'est la faute de Madame Mallarmé

.

Je distingue toujours mal ce qui différencie le discours du gargarisme

 

La sodomie perturbe les moralistes parce qu'ils s'y sentent à l'étroit.

 

Un pétard désigne à la fois un gros cul et une petite explosion

 

Changer le vin en sperme : j'ai accompli ce miracle presque chaque jour pendant quarante ans. (no comment, no comment , no comment !)

 

Dormir m'ennuie

 

Un pied dans la tombe, Mémère prétend toujours qu'elle danse pour le plaisir de danser

 

Les borborygmes de la fellation reposent du caquetage de l'éternel féminin

 

 

L'entomologiste Jean Henri Fabre : veuf, sept enfants, il se remarie avec sa bonne (elle, 23 ans; lui, 64) et il remet ça pour trois enfants. Voilà où peut mener la terrible passion des insectes! (le même goût de la chair fraîche conduira Jules Michelet à être le premier des écolos)

 

Avant le pillage, le viol est la première gâterie du soldat.

 

J'aime la musique de Händel : on dirait une femme qui se tait.

 

Qu'est-ce qu'un culturiste sans son miroir ?

 

La première règle de la sociabilité : respecter les imbéciles.

 

La tolérance n'exclut jamais totalement la pitié ou le dégoût.

 

J'espère mourir dans mon lit. Ça me rappellera au moins de bons souvenirs !

 

La canicule a fait des milliers de morts. Nul n’évoque pourtant ces bienheureuses familles qui se réjouissent d’un décès prématuré.

 

C'est le divertissement qui fait le roi.

 

Il est peu de compagnie qui ne me fasse préférer la solitude et l'apaisant bienfait du tabac.

 

J’étais né pour rouler des corps, comme l’autre son rocher, et m’en sentir pleinement justifié

 

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