CASTROJERIZ

CASTROJERIZ

 

Juan Andres Ezcurdia : « Castrojeriz, hasard et Providence »

Huile sur Okoumé. Musée des beaux-arts. Nancy

 

 

Juan Andres EZCURDIA a dégusté un excellent jambon jabugo à Quatre-souris ce qui offre, pour les glands du tableau, une explication qui vaut bien celle du canapé rouge du Douanier Rousseau

Antonio de Cabezon, le Bach espagnol, né dans la bourgade voisine de Castrillo Matajudios où fut trouvé un fameux manuscrit, aurait joué sur l’orgue de St. Johanniskirche (la musique sacrée, ça a l’air plus sérieux en allemand) ce qui explique les tuyaux d’orgue introduits par le très didactique Maître Don  Juan Andres EZCURDIA  .

Pour le reste, il y a de l’herbe et le village. On ne voit pas le château qui a été placé sur l’autre flanc de la colline,  parce que Su Grandeza Juan Andres EZCURDIA  a estimé qu’il en avait assez fait comme cela, et qu’il n’allait pas gâcher un pinceau neuf avec un château en ruines.

 

 

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